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Edito
Qui croire en matière d'alimentation ? "Y a pas d'mal à s'faire du bien" ou "vous aimez tout ce qui est bon ? C'est très mauvais"… Les deux écoles existent et l'étude à la Une de ce numéro donne peut-être une explication en distinguant un plaisir épicurien, basé sur l'appréciation sensorielle et symbolique des aliments, et un plaisir viscéral impulsif répondant aux signaux externes et aux émotions. Le premier favoriserait une alimentation saine et – cerise sur le gâteau – augmenterait le sentiment de bien-être.
Une autre étude révèle chez des enfants que le fait d'associer spontanément des occasions festives (Noël, anniversaire, carnaval) à des aliments n'est pas corrélé à un IMC élevé, au contraire ! Autant d'indices qui plaident en faveur d'une éducation alimentaire et culinaire pour développer un plaisir "gourmet".